Meutres

Ici sont décrits les meurtres que commet Requiem pour gagner sa vie.

Je vais voir mon employeur, Marcowel. Il me montre un papier avec une photo et me dit "Bute moi ce gars-là et t'as 100 $". Je le regarde et je sors de la pièce.
Je m'équipe de mon Sniper qui j'ai toujours utilisé pour ce genre de mission. Très précis, très puissant et très discret, il me permet de tirer partout, même dans le noir. Je me place en haut d'un des immeubles de la ville, qui offre une très large vue et je cherche avec des jumelles la rue de mon client, que Marcowel m'a indiquée sur un petit papier... Quand je la trouve, je cherche le numéro 7, l'adresse précise de mon client... C'est bon, je vois la porte. Je place mon Sniper. Je suis parfaitement dans l'axe. J'attends. Quand l'homme sortira de chez lui, je n'aurai qu'à appuyer sur la gachette pour empocher 100$...

C'est bon, il sort. J'appuie sur la gachette. En même pas une seconde, il s'écroule, sans comprendre pourquoi. La balle est allée se loger en plein milieu du front. Du sang coule sur son visage mort. Je remballe mon matériel et me dirige vers le cadavre. Quand j'y suis, je prend un échantillon de son sang à l'aide d'une seringue. Ensuite, je retourne voir Marcowel et je lui tend l'échantillon.
- Tu pourras vérifier, c'est bien lui. dis-je
- OK... tiens.
Il me tend 100 $.

Je retourne voir Marcowel qui m'a contacté pour une affaire des plus urgentes.
- Tu dois supprimer Mr Smix, un agent très haut placé du FBI. Il est à l'hôpital, en ce moment, mes hommes lui ont tiré plusieurs balles dans le dos mais cet enfoiré a survécu... élimine-le.
Je vais à l'hôpital où est soigné Mr Smix. Je prend un médecin à part et l'emmène dans un couloir sombre, où je l'égorge. Je prend sa tenue et l'enfile. Ensuite, je vais a la chambre où est placé Mr Smix, la 678.
- Aujourd'hui vous avez le droit à une piqûre, Mr Smix, dis-je.
- Encore ?
- Oui, mais ne vous inquiétez pas, ce sera la dernière...
Je sors une seringue dans laquelle j'ai auparavant mis du nitrate de potassium, un poison extrêmement mortel. Je plante la seringue dans son bras et injecte le liquide.
- Vous allez bientôt vous endormir, Mr Smix...
- Ah bon ?
- Oui, et vous ne vous réveillerez jamais.
- Quoi ? Qu'est-ce que...
Il n'a pas le temps de finir sa phrase, je suis sorti en claquant la porte.
"D'ici une heure, Mr Smix ne sera plus."

Je retourne voir Marcowel.
- Il est mort, dis-je.
- Bien, Requiem, bien...
Il me tend un billet. Je sors.

waoooo stylé putin !!!

j'avou

:D

Le téléphone sonne. Je réponds. C'est Marcowel. "Décidément, il a du monde à descendre." Il me demande de tuer la vieille dame qui habite à deux rues de chez moi. "On a besoin de sa maison pour en faire des locaux pour la mafia."
je trouve ça dégueulasse de tuer une vieille femme, mais après tout, c'est mon boulot. Je sonne chez la dame. Elle vient m'ouvrir.
- Bonjour... que voulez vous ?
Je cherche une excuse bidon qui la poussera à m'inviter à entrer.
- C'est à propos de votre fils.
Je prie pour qu'elle ait un fils.
- Mon fils ? Qu'est-ce qui lui est arrivé ? Entrez, je vous en prie, nous allons en parler à l'intérieur...
Bingo, ça marche comme sur des roulettes. On rentre. Elle marche devant moi, je la suis. Je sors discrètement mon poignard et lui tapote l'épaule. Elle se retourne vers moi.
- Oui ? Qu'est- ce que...
Elle n'a pas le temps de finir sa phrase : mon poignard est planté dans sa gorge et elle crache du sang. La vieille femme s'écroule, morte.

toi ossi t inspiré lol

oué lol ^^

Je me réveille au milieu de la nuit en entendant frapper à la porte. Je prend le revolver caché sous mon oreiller et pars en direction de la porte d'entrée.
- Qui est là ?
- C'est moi...
- Qui ça, moi ?
- Moi...
Il m'énerve. Je n'ai pas que ça a faire d'attendre devant ma porte. Je tire en l'air.
- Ou tu m'dis qui t'es ou j'ouvre et j'te descend.
- Tu n'oserais pas...
- Ah ouais ?
J'ouvre la porte et pointe mon arme en direction de...
- Marcowel ? Qu'est-ce que vous faites là ?
Je range mon arme.
- J'ai une mission pour toi, Requiem...
- Mais il est 2h30 du mat', on verra ça demain...
Il ne me laisse pas finir.
- Non, je veux que tu tues quelqu'un cette nuit...

- Et c'est qui ?
- Le frère du Sergent Kay.
Je le regarde et ressent une sensation bizare.
- Le...
- Le Sergent Kay, tu vois qui c'est ? Il arrête et tue tous les malfrats, dans la ville... Tous les gangs veulent sa mort, la mafia a même mis sa tête à prix... Mais on peut pas le tuer, il est trop protégé et dangereux...
- Et comment on fait pour l'avoir, alors ?
- Vu que nous on peut pas l'attaquer, il faudrait que ce soit lui qui nous attaque, comme ça, on pourrait l'buter et remporter l'argent de la mafia... Si on descend son frère, ça va l'énerver, et il va vouloir se venger...
- Et il est où son frère ?
- Il habite à 4 rues d'ici, la vieille maison de briques...
- OK.
- Et n'oublie pas... il faut l'énerver, alors n'hésite pas à faire un travail bien gore... vas-y au couteau.
Il s'en va. Je vais dans ma chambre m'habiller et je prend mon poignard. Ensuite, je sors de chez moi et cherche la maison du frère de Kay...

OK mais moi je suis a la recherche de marcowel, il a buter ma femme

lool ouais il a envoyé d'autres hommes à lui la tuer

Après quelques minutes de marche, j'arrive devant la maison du frère de Kay. La bâtisse est complètement faite de briques ce qui lui donne un aspect très vieux. Je m'approche du grillage qui encadre le jardin et coupe un petit bout de fil de fer avec mon poignard. Je fais le tour de la maison en restant dans l'ombre et trouve une porte derrière la maison. Je crochette la serrure en quelques minutes avec mon fil de fer. Je pousse la porte extrêmement doucement pour éviter qu'elle grince. Je m'infiltre dans la demeure et marche sans faire de bruit. Je regarde les différentes pièces. Il n'y a pas de chambre. Je vais au bout d'un couloir et trouve un escalier. "Eh merde... espérons qu'il grince pas."
Je monte marche après marche, retenant mon souffle. J'arrive en haut de l'escalier sans avoir fait de bruit. Là, je vois deux portes. J'ouvre la première : une salle de bain. Je m'approche de la deuxième et l'entrouve... je vois un grand lit au centre de la pièce avec quelqu'un qui dort à l'intérieur. "Yeah..."
Je sors mon poignard et m'approche du frère de Kay. Il faut que je le tue immédiatement avant de commencer le carnage. Je place la lame sous son cou et, d'un mouvement rapide, l'égorge. Il pousse un petit râle sans même ouvrir les yeux et se rendort, pour ne plus jamais se réveiller. Du sang coule à flots de la plaie, aborbé par le tissu du drap. "C'est parti..." Je commence par finir le cou en décapitant le corps. Je prends la tête et la plante sur un des pieds du lit dans un jiclement de sang. Ensuite, je coupe tous les membres et je les entrepose aux quatres coins de la pièce. Il ne reste que le buste, sans bras ni jambes, que je transperce de partout. On dirait du hachis parmentier. "Je pense que ça suffira..."
Avec mon poignard, je dédicasse ma tuerie au sergent Kay en gravant les mots "Pour Kay" sur le parquet.
Je nettoie ma lame avec un coin propre du drap et le range. Puis, je sors de la maison et retourne chez moi...

A c gore javou

a cé du jolie lool

lol

loool bah ouais attends !! ^^

tes un profesionel

J'ai longtemps réfléchi au cours de la nuit, et j'ai fini par conclure que je ne savais rien de cette histoire concernant le Sergent Kay. Je décide d'appeler Marcowel.
- Allô ?
- Marcowel, c'est moi Requiem.
- Ah, salut... Tu l'as buté ?
- Oui, j'l'ai saigné comme un porc... mais il faut que tu m'expliques.
- Que j't'explique quoi ?
- Toute l'histoire.
- Ca veut dire quoi toute l'histoire ?
- Putain, Marcowel, j'vais pas te faire un dessin ! Pourquoi tu m'as demandé de transformer son frère en hachis parmentier ?
- Pour l'énerver et pour qu'il vienne nous trouver, j'te l'ai déjà dit.
- Non, Marcowel. J'aurais pu le tuer sans pour autant déchiqueter son corps. Qu'est-ce que ça t'apportais ? Et puis comment tu veux qu'il nous trouve ?
- Eh ben j'ai... euh...
- Qu'est-ce que tu as fait, Marcowel ? Qu'as-tu fait avec le corps ?
- Je m'en suis servi pour que Kay me trouve.
- Explique-moi tout.
- Bon... Tu vois, il y a une grosse prime pour celui qui descendra Kay... ce Flic est dangereux pour la Mafia et pour tous les gangs, il faut l'éliminer. Je me suis dit que l'énerver serait le meilleur moyen de l'attirer vers nous. La colère rend aveugle, Requiem, et quand un flic est aveugle, il n'arrive plus à tirer. J'ai voulu l'énerver au point de le rendre fou. J'ai d'abord envoyé un gang remettre un papier à Kay où était indiqué l'adresse de sa femme. Il y ait allé et a trouvé son cadavre que je leur avait ordonné de tuer. Là, il a trouvé un aute papier qui indiquait l'adresse de son frère, que j'avais prévu de faire assassiner par toi-même... Sur chaque papier, j'ai signé d'un M, pour Marcowel.
- Mais il pourrait te retrouver !
- C'est ce que je veux Requiem. Après que tu ais tué son frère, j'ai un envoyé un de mes hommes assez "spécial", à qui je confie rarement des missions... Pour te dire la vérité, c'est un cannibale... Je lui ai demandé d'écrire sur le corps du frère de Kay ce que tu avais gravé au sol : "Pour Kay", en rajoutant un M. Ensuite, je lui ai demandé de manger le cadavre quand il entendrait quelqu'un arriver dans la maison. Je savais que Kay viendrait voir son frère après avoir lu le papier que mes hommes lui ont laissé... Ainsi, quand il est arrivé dans la chambre de son frère, il l'a vu mort, en train de se faire manger par un cannibale, ce qui a dû le rendre fou de rage. Puis il a vu le cadavre avec le message et le M. A mon avis, il a interrogé le cannibale, à qui j'ai demandé de dire la vérité. Ainsi, Kay le croira quand il verra que M correspond à Marcowel et il viendra me tuer...
- Et là, vous le descendez, et vous remporter l'argent.
- Exactement. Je veux que tu le descendes pour moi.
- Très bien. Alors c'est moi qui remporte l'argent.
- Tu déconnes ? J'ai mis en place tout un plan pour que Kay vienne à moi fou de rage pour qu'il soit plus vulnérable et tu crois que tu vas remporter l'argent parce que tu auras simplement appuyer sur la gachette de ton arme ?
- Appuyer sur la gachette de mon arme, c'est ça qui tuera Kay. Le reste, on s'en fout.
- Pas moi. Je prend l'argent, et toi tu vas te faire foutre.
- Et ben tu l'buteras tout seul ton Sergent Kay, connard. Et si c'est toi qui crève, je déchiqueterai ton cadavre comme j'ai déchiqueté celui de son frère.
Je raccroche.
Je crois qu'il va falloir que je trouve un nouvel employeur...

Je pars à la recherche d'un nouvel employeur. Je contacte un gang dont le chef est un vieil ami à moi et lui demande s'il ne connaît pas un homme qui aurait besoin de mes services. Il me parle d'un certain Patrokl, un vieux mafieux qui a passé la moitié de sa vie en tôle et qui est sorti il y a quelques semaines avec un seul désir : se venger. A ce qu'il paraît, le plus grand rêve de ce mec est de détruire la police, le FBI et tous les autres...
Je l'appelle. On fait connaissance et on s'entend bien. Il me demande de descendre un type pour lui montrer ce que je vaut. Il me dit : "Bute un keuf, celui que tu veux. Si t'es un bon tueur, j'te paye pour l'avoir crevé et j't'engage pour en buter d'autres." J'accepte le marché.

Je prend mon Sniper et monte dans ma voiture. Je vais juqu'au commissariat. "Si je veux des flics, c'est là-bas que j'dois aller."
Je roule... il reste une rue avant le commissariat. Mais là, des keufs bloquent l'accès. Je leur parle.
- J'voudrais passer. J'dois aller au commissariat.
- Désolé, y a plus de commissariat.
- Quoi ?
- Un taré a tout fait péter... ce gars-là est un fou furieux, y avait plein de gens dans c'commissariat ! Et lui, rien a foutre ! Il fait tout péter ! Si on l'choppe, il va...
Il me fait chier. Je ne le laisse pas finir sa phrase, j'attrape mon vieux colt dans ma boîte à gants (oui, j'ai des flingues planqués un peu partout) et j'le descends. Pan ! Une bonne balle dans la tête et un bon bout de cerveau qui part. Les deux gars qu'étaient avec lui dégainent et rappliquent en me disant de sortir les mains sur la tête. J'ai la flemme de sortir. Je démarre, et fonce sur eux. J'en écrase un mais l'autre saute et évite la voiture. Mais il est par terre, ce con, et il a perdu son arme. Je descend et le plombe de partout, une marre de sang se met à couler sur la rue pavée. Je lui explose la cervelle et sors mon téléphone portable. J'appelle Patrokl.
- Patrokl ? J'en ai buté 3, mais payez-moi le prix d'un. Les deux autres, c'était par pur plaisir. Venez voir le boulot si vous voulez. La p'tite rue pavée près du commissariat.
- J'arrive.
Je l'attends.

En attendant, j'aperçois un homme un peu plus loin. Il tient une mitraillette et il a plein de bâtons de dynamite accrochés à sa ceinture.
"C'est sûrement c'mec qu'à fait péter le commmissariat. J'devrais peut-être le descendre ? En même temps, non. Il a fait péter le commissariat, et les ennemis de mes ennemis sont mes amis."
Au bout d'un moment, Patrokl arrive. Il trouve que j'ai fait du bon boulot, rapide et efficace. Il me dit qu'il aura besoin de mes services pour ses prochaines cibles. Je rentre chez moi tout content : j'ai un nouvel employeur.